Une bonne rencontre avec un producteur de thé

Bonjour.
C’est Monsieur A.

Durant mon travail de guide, nous avons parcourus les champs de thé à Wazuka. Là-bas, par le plus grand des hasards, j’ai fait la rencontre d’un producteur de thé de la région.

J’ai donc engagé la conversion de manière à ce que mes clients en sachent davantage au sujet de ce domaine qui me passionne.

On pouvait observer non loin de lui des ventilateurs destiné à diffuser du brouillard contre la gelée.

Je me suis mis à lui poser de nombreuses questions au sujet de son travail. Lors que je lui ai demandé combien il avait de champs, il m’a répondu 10 hectares. 2 hectares seraient en effet le grand minimum pour espérer gagner sa vie avec le thé.

Autour de lui travaillent sept personnes, dont son fils et son petit-fils. Actuellement, puisque le macha gagne en popularité, sa production se vend particulièrement bien, y compris à travers le monde et de nombreux touristes, en particulier chinois, viennent visiter cet endroit.

On y pour cette raison plusieurs gîtes destinés à les accueillir. Il m’a ensuite expliqué que la première récolte avait lieu aux alentours du mois de mai et qu’elle était celle de la meilleure qualité. Cela implique qu’elle soit utilisée notamment pour le macha et le gyokuro.

La seconde récolte est quant à elle destinée à la production de sencha et a lieu en juillet. Il s’agit du thé le plus consommé au Japon, doté d’une délicieuse amertume provenant de la catéchine .

La troisième récolte se déroule en octobre. Sa qualité étant moindre, elle se destine au thé grillé. Si vous aussi, vous êtes passionné par le thé, n’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me poser vos questions !

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